dimanche 11 décembre 2016

une séparation partagée

                                                                                 
                                                                        A  
                                    Mon  fils Mohamed

Je voudrais t’exprimer à travers ces lignes mes sentiments de soutien, et le partage des moments d’épreuves, il est évident que parfois, je m’inquiète pour toi, je suis désolé que tu sois ainsi, je pense à toi, car tu es aux fond de mes prières,  parfois je me sens coupable à l’égard de ton éducation, et étranger envers les règles de ta propre liberté, c’est pour cela qu’il ne met pas permis actuellement de t’orienter ni de te conseiller en raison des circonstances blessantes, et imposantes à la fois.
Cependant, je voudrais être attentif à tes émotions, je fais de mon mieux pour te rendre étendu et je voudrais que tu le sois ainsi, d’autant plus que je connais parfaitement ton comportement qu’il sait laisser emporter par l’agitation désapprouvée en ignorons les conséquences regrettables, le seul malheur est sans doute la précipitation de ton cœur qu’il soit simplement aussi naïf et fragile que tu le pense. J’ai appris à travers ces difficultés, le jour de visite est une façon de rencontre différente devant un parloir obscur et intransigeant de l’autorité pénitentiaire, c’est ainsi qu’il ressemble parfois à un jour de deuil déguisé si ce n’est qu’un obstacle permanent en vertu des libertés respectivement individuelles, n’es pas le renvoi au chagrin pénible après toute séparation ?Ce n’est pas familier de se parler séparer par une vitrine, mais ce qui réjoui c’est ton visage qu’est il devenu ?c’est aussi écouter ta voix et t’envoyer la mienne sérieusement justifiée, je suis encore là devant toi, et tout ce que je dis est important. Quand tu éprouve le sentiment de culpabilité d’un coté et le doute direct des pensées pour ceux qui partagent notre chagrin, tu  essaie d’être juste et positif envers le destin et les faits, même si le retour fréquemment au chagrin, tes larmes sont une réaction naturelle à l’angoisse elles seront  une source de délivrance.

Mon fils
Le jour de visite jusqu'à Ain-wessara, Je ne ressens aucune fatigue quant à mes déplacements, je cherche constamment à me concentré moralement sur quoi je dois te dire et t’apporter les nouvelles familiales, et parfois tu me conjure d’être fidèle aux nouvelles que je t’apporte elle te serre le cœur c’est évident, je me sens de plus en plus responsable de ta situation.
J’ai le pressentiment que je suis l’être le plus cher de ta vie, et j’apprécie que tu es un sens à la vie là où tu sois, tu trouveras de nouvelles forces morales et un soulagement proche à cette punition que je considère de nos jours prudente.
A ceux qui connaissent la chaleur des cœurs brisés, fraternellement  je t’apporte mon soutien effectif et amicalement l’entente d’une proche réunion familiale,c’est un compromis. (in cha allah)                           
                  

A bientôt





















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